" Après avoir regardé les vidéos de Rinpa
Eshidan, l’impression nous est
tout de suite venue qu’on tenait là une bonne piste, une hybridation
fertile, donc rare, entre le cinéma et la peinture qui n’est que
lumière, que l'on projetterait sur l’écran noir au début, noir à la
fin. Le cinéma, la musique jazz et rock pour le son,
l’improvisation, la fusion, l’adrénaline et pour l’enregistrement qui
devient l’œuvre quand tout est fini.
Aussi
éloignée que possible des exhibitions corporelles métaphysiques (Beurk
! ), corpus dolorosa douteux
— je
m’expose et je mets mes tripes sur la table, sur la toile, sur les
murs, sur les spectateurs, partout ; prenez ceci est mon corps, prenez
ceci
est mon sang — issu du même siècle obscur (celui d’avant les
frères Lumière ) que la peinture de salon.
Alors on s’est tous écrié :
— A bas le théâtre ! Vive la lumière !
»
A l' E X T E
N S I O N
impasse Henri IV 64110 GELOS
le 20 octobre 2012